Le plat de l'entrée
Enorme moment de rigolade samedi soir chez des amis en regardant le spectacle de Gad Elmaleh, L'autre c'est moi.
Et ce n'est pas parce qu'on l'a déjà vu, qu'on rit moins !
Et je sais très bien pourquoi je ris tellement : c'est parce que les Pouët, comme vous aussi peut être, ressemblent comme deux gouttes d'eau à la famille qu'il décrit.
Tenez par exemple, le plat dans l'entrée... Il est chez vous aussi, j'imagine. Vous savez, celui dans lequel on accumule ces petits objets qui ne servent à rien, qu'on ne sait pas où mettre et qu'on n'ose pas jeter...
Les uns trouveront peut être que je manque de pudeur, d'autres seront ravis de se mettre sous la dent ces détails croustillants de la vie des Pouët, mais ce soir, je lève le voile sur une partie de notre intimité :
C'est pourtant un joli petit vide-poche en porcelaine de chez Bernardaud ( et non, lecteur inculte, Bernardaud ne désigne pas ici l'ami muet de Zorro mais une marque chic de porcelaine de Limoges)
Mais à cause de son nom et de la position stratégique dans le couloir, le vide-poche récolte ces petites babioles inutiles
Petit inventaire du plat de l'entrée :
un haricot sec
3 boutons -- dépareillés évidemment
Une paire de lunettes cassées (par Eulalie)
les trousseaux de clés de nos voitures
un coupe-ongles
un mètre-ruban des années 70
une poignée de placard cassée
un porte webcam adhésif
deux piles usagées
un smiley pour ardoise magique
Je ne lance pas de tag mais j'attends avec impatience vos témoignages sur vos "plats à bidules"